entrainement

Don extension niveau 2+ Messages : 71 Date d'inscription : 26/06/2010 Age : 28

Fuerza arriva devant la grande étendu d’eau qu’on appelle lac, il avait passé quelque moment dans la forêt pour arrivé ici. Il avait un sac à dos et une sorte de table de camping sous le bras. Il posa doucement cette table, puis la déplia, il posa son sac de voyage puis commença à l’ouvrir, il y sorti un colt 45 ou aussi appelé Colt M1911 et le posa sur la table. Il sorti 4 boites de balles, une boites de 45.ACP, 38 Super auto, 9mm luger puis une boite de .50 Action Express. Il sorti après une autre sorte d’arme, un MP5, il sorti encore 4 boites de balles, une de 9mm, une de .40 S&W, une de 10 mm auto et une boite de Taurus 40 MT. Voila tout était près, il avait prévu une séries de questionnaires d’abord, elle devra savoir mettre les 3 calibres sur la bonne arme, bien sur deux son fausse, un piège plus que difficile. Il comptait y allait fort, très fort. Il avait aussi mit des cibles mobiles noirs.

Il se frotta les mains puis sorti son, colt single action, son arme fétiche, sa belle arme fétiche, un revolver, ce n’était pas vraiment l’arme la plus puissante, mais c’était celle qu’il contrôlait le mieux. Très rapidement les coups s’enchainèrent Bam, Bam, Bam. Les trois cibles noirs avait reçu un balle a niveau du cœur. Il était toujours aussi fort avec cette arme, d’un rapide geste, l’arme tourna autour de son doigt, plusieurs fois rapidement, puis le canon rentra dans son étui, il décrocha son couteau de survie, et l’envoya sur la 3eme cible, la lame aiguiser et l’autre lame dentelé passa a travers la cible ce planta dans un arbre. Il s’approcha de l’arbre et pris le manche. Sa montre sonna, elle ne va pas tardée. Ses yeux se transformèrent en pupilles rouge et tout ce qu’il voyait étais maintenant transparent, il reconnu la silhouette de la princesse. Il ressorti son SAA et vida ses 3 dernières balles sur la même cible, une dans la main, une dans le pied et la dernière dans la tête. Il était près.

C’était une chaude journée d’automne. Une légère brise faisait danser les feuilles dans les arbres alentour. J’étais dans mon bureau penchais sur un de ses innombrables et barbants documents administratifs. Je sais bien que c’est important mais c’était vraiment la partie de mon rôle de directrice que j’appréciais le moins. Alors que j’apposais mon seau sur une demande de club de soft-ball féminin, je levais la tête pour regarder mon horloge murale. J’avais encore un peu de temps pour me changer avant mon « entrainement ». Une fois tous mes dossiers signés, je me dirigeai vers ma chambre. Tous les élèves étaient en cours, je ne croisais donc personne dans les couloirs. Une fois dans ma chambre, j’ouvris ma penderie et m’assit sur mon lit en réfléchissant a se que j’allais mettre :

- Alors… une robe ? Non, trop gênant. Un pantalon ?Oui déjà c’est plus pratique. Un short ! Oui voila ! Mais je me demande si sa ne fais pas un peu vulgaire ? Non sa devrait aller. Et puis de toute façon, tout le monde et en cours, il n’y aura que Fuerza.

J’optai donc pour un petit short en jean et un tee-shirt blanc à bretelle. Encore un coup d’œil sur ma montre, pour m’assurais que je n’étais pas en retard. Et surprise ! J’avais encore un quart d’heure. Dans le doute je regarde une autre pendule. En fait, il me restait cinq minutes. Je retirais ma robe et la posais sur une chaise avant d’enfiler mes affaires et une paire de basket. Après un rapide coup d’œil dans la glace, je constatais que c’était un peu moulant, bien que nécessaire pour se qui m’attendais. Enfin c’est se que je pensais. Tout en me dirigeant vers le lac, je nouais une tresse avec mes cheveux. Arrivais au lac je scrutais l’horizon a la recherche de mon « professeur de défense ». Je l’aperçu assez facilement, en effet il avait une arme à la main. Je ne sais pas pourquoi mais se détail me parut tout à fait normal et je fus même surprise de ne pas le voir entourait de ceintures pleine de balle autour du corps et des peintures de guerres sur les joues. Comme il était loin,je me permis d’éclater de rire. C’est donc avec les joues rosées et un grand sourire que j’arrivai devant le jeune homme. D’un air enjoué je déclarai :

- Bonjour !

Une intuition me dit que je n’avais pas vraiment fait bonne impression,avec mes vêtements hyper moulant et mon grand sourire. Bon le sourire je l’est toujours, mais bon. Heureusement que je connais un peu le maniement des armes et que je peux lire dans ses pensées en cas de besoin, sa m’évitera de faire des bourdes. Je me mordait la lèvre en attendant la réaction de mon interlocuteur.